Épisode #17

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Morgane

– Salut les Ponots !, le podcast itinérant et léger qui donne la parole aux personnes qui habitent ou gravitent autour du Puy. Et aujourd’hui, je suis avec une femme pétillante. J’ai l’impression que ses journées, c’est des marathons. C’est une athlète de haut niveau. Je suis avec Morgane, bonjour Morgane.
– Bonjour.
– Comment va-t-il aujourd’hui?
– Ça va très bien, très contente de te voir.
– Moi aussi. T’as toujours la pêche, ça fait plaisir, le sourire.
– On va essayer de redonner un peu de ça à tout le monde.
– Ouais, ça marche. Alors, est-ce que tu peux te présenter un petit peu pour ceux qui n’auraient pas reconnu ta voix.
– Ok, alors je m’appelle Morgane Dupuy, ce n’est pas une blague.
J’ai vingt huit ans. Je suis, alors ma famille est ponote, je suis revenue au Puy il y a cinq-six ans.
Et du coup, aujourd’hui, je suis à mon compte et j’ai la société l’agence de com Gardederobe.
– D’accord, et tu étais où alors avant de revenir au Puy. T’es pas née au Puy, t’es née où ?
– Je suis née, alors moi je suis appelouse, je ne sais pas si…
– Appelououououuuuuse
– Alors, c’est les habitants de Firminy et ensuite, donc, je suis native de Saint-Maurice-de-Lignon et ensuite, je suis partie faire mes études à Saint-Etienne et, en fait, à la fin, je suis retournée au Puy.
– Aux sources.
– Ah oui, complètement. Le coup de cœur.
– C’est vrai ?
– Ah oui, mais complètement, j’avais le choix si tu veux entre Lyon et je voulais pas retourner dans un petit village, puisque Saint-Etienne, à l’époque, c’était super chouette tu vois, ça bougeait. Je me suis dit, il me faut un coin qui bouge pas mal. Et du coup je suis revenue au Puy et je t’assure que j’en repartirai pas.
– T’es près de papa et maman, tout ça…
– Exactement ma famille, j’ai mes amis, j’ai tout.
– Puis la nature est super belle, comme on le dit à chaque fois.
– Tu peux faire des randos, j’adore ça. Donc, tu peux facilement t’aérer l’esprit à quelques kilomètres, aux alentours du Puy.
– Même à pied, tu peux partir et hop.
– Ouais, c’est ça.
– Dans la nature.
– Exactement.
– Super, tu veux nous en dire un peu plus sur toi ?
– Bien sûr.
– T’as une petite anecdote ?
– Alors oui, puisque je te disais Morgane Dupuy, ce n’est pas une blague, parce que, si tu veux, des fois il y a des gens qui s’appellent et tout, par exemple dans le travail ou même, et ils disent, je suis avec Morgane Dupuy, et puis les gens, ils font Dupuy, du Puy, tu vois, c’est des trucs comme ça. Il y en a qui ont pensé que c’était un nom de scène. On m’a dit, ah bon, mais c’est ton vrai nom et tout. J’ai dit, bah, bien évidemment.
– Ça arrive.
– Donc, ça arrive souvent, mais du coup, aujourd’hui, voilà, je leur dis, c’est des blagues un peu lourdes, changer quoi.
– C’est un peu has been maintenant.
– C’est bon, on me l’a trop faite.
– Ça fait presque plus rire. Si, toujours avec le sourire.
– Si toujours.
– Ça marche. Est-ce que tu as une autre chose à me dire sur ta relation au Puy ?
– D’un point de vue de la ville. Alors moi, je m’y sens très à l’aise en tant qu’habitante du Puy, en tant que ponote, parce qu’en fait, si tu veux, j’ai trouvé qu’il y avait vraiment plein de choses à faire. Tu vois du côté culturel, avec les musées et les événements qui sont mis en place sur un lieu de vie qui est très agréable, enfin, moi, j’adore faire le marché. Je fais le marché tous les samedis matin.
Et d’un point de vue dynamisme, on a plein de lieux où sortir avec ses amis.
– Il y a le choix.
– Il y a le choix et on est une petite ville et moi je trouve absolument pas ça péjoratif, parce que du coup, on a plein de choses à faire pour se développer et c’est plutôt cool.
– Plein de choses en si peu de mètres carrés, c’est pas mal.
– Exactement mais en fait chez nous, on a plein, plein de choses à faire.
– Moi, j’en découvre tous les jours avec Salut les Ponots !.
– Tu m’étonnes. Les rencontres doivent être enrichissantes.
– Et toutes différentes. C’est ça qui est chouette.
– C’est ça qui est cool.
– Alors, je vais te demander de faire le jingle titititi.
– Je m’attendais pas à ça.
– C’est vrai ? Mais tu ne vas pas chanter, tiens regarde t’as juste à tourner la manivelle.
– Ohhh, c’est des souvenirs.
– Faut pas dire ce qui est écrit, ce qui est marqué dessus, enfin ce qui est dessiné, c’est une surprise pour les autres.
– Ah j’ai pas le droit. Et on peut faire des bruitages et tout ?
– Tu peux, tu fais ce que tu veux.
– Alors moi les Salut les petits ponots, ça m’inspire quoi ça ?

Musique jingle

– Salut les petits Ponots ! Bienvenue dans ce nouveau podcast.
– Bravo et merci. Je te laisse là. Tu devras faire le même dans quelques minutes.
– D’accord, très bien, je sais pas si je m’en rappellerai.
– Ah ben écoutes, personne ne s’en rappelle, mais c’est pas grave, même ceux qui l’ont entendu, de toute façon, au début de l’épisode.
– Ok.
– On va passer au confessionnal. J’ai plein de petites questions à te poser. Tu choisis la réponse que tu veux. Donc je te fais deux ou trois propositions. Tu peux dire joker, tu peux choisir les deux, aucune d’accord ?
– D’accord.
– Bon, après si tu dis aucune, je te fais des gros yeux et
– ok, d’accord, hum, hum, nous on se voit donc on se comprend, mais les gens…
– …ne voient pas ce qui se passe.
– D’accord très bien.
– Orange ou citron ?
– Citron.
– Robe longue ou robe courte ?
– Robe longue.
– Camille Lacourt ou Teddy Riner ?
– Ohhhh oHH ohhhh
– Alors le beau gosse aux yeux bleus ou le grand…
– T’as dit qu’on pouvait… joker
– Prendre les deux ?
– Prendre les deux.
– Gourmande. Elle prend les deux, je comprends. Un pour les jours pairs, un pour les jours impairs.
– Exactement, on s’arrange.
– Mojito ou caïpirinha ?
– Mojito.
– L’amour ou la folie ?
– Ahhh mais l’amour quand même.
– Ouais ? Moi je me suis dit que t’allais dire les deux.
– Ouais mais c’est que je suis quand même les deux. Mais après ils vont se dire mais elle est folle, mais ouais de ouf, en fait, c’est les deux combinés.
– Voilà l’amour fou.
– L’amour fou, l’amour passionné, l’amour, tu vois.
– Ça marche. Alors trottinette électrique tout-terrain ou mobylette.
– Eh ben, je vais dire mobylette, parce que j’ai essayé il y a pas longtemps.
– Ouais, j’ai vu.
– J’ai adoré. C’était génial, c’était trop trop bien.
– Tu l’as fait dans quel coin ?
– A Fay-sur-Lignon.
– D ‘accord, parce qu’il y a à Rosière aussi, il y a un petit truc.
– Ouais, j’ai vu une nana qui vient de le partager ce week-end et moi, j’ai testé, Fay. C’est des mobylettes vintages et tout, et tu pars où tu veux en fait dans le mont Mézenc, tu peux aller en Ardèche. Donc, du coup
– Sympa.
– C’était trop marrant.
– Tant que t’as de l’essence, enfin du gasoil, enfin ce qu’on met dedans. Un mélange.
– Voilà oui. Tu sais quand tu pars avec moi, tu sais pas ce qui peux t’arriver.
– Or ou argent ?
– Or
– Body combat ou yoga ?
– Yoga.
– Ok, c’est plus calme.
– C’est plus détente. Avant, alors, moi, j’ai fait du sport co. J’ai fait du sport toute seule. Mais avec mon changement de vie, avec le métier que j’ai aujourd’hui,c’est très dur de me détacher parce que je travaille avec beaucoup de personnes dans le Puy, mais j’habite aussi au Puy. Je suis très visible sur les réseaux sociaux et des fois, séparer en fait ma vie privée de ma vie professionnelle, c’est compliqué et je me suis rendu compte que le yoga m’apaisait énormément.
– C’est une petite bulle dans laquelle tu peux te réfugier, un petit moment pour toi quoi.
– Exactement voilà, et mon conjoint pratique du coup, il m’inculque un peu ça, et je sais qu’il y a beaucoup de nanas qui font du yoga et qui me disent Mo faut que tu viennes et ma réponse, c’est j’ai pas le temps. Mais si on trouve toujours le temps pour soi, c’est juste une question d’organisation.
– J’avais dit que ta journée c’était marathon.
– Ah oui, t’avais prévenu.
– Story ou reel.
– Reel, ou les deux, ou les deux, ou les deux attends, j’adore tout ! Alors story, parce que c’est cool, c’est du format qui est très rapide et qui part très vite. Mais les reels tu peux plus t’éclater dans tout ce qui est création de contenu et c’est quelque chose qui va rester mais c’est vrai que les stories ça reste quelque chose d’important aussi.
– Alors Maneskin I wanna be your slave
– Yeahhh.
– Ou Coldplay Paradise ?
– Hannn Para para paradise !
(rires)
Tu me connais bien quand même.
– Chameau ou cheval ?
– Euuuuh J’ai bien aimé les chameaux mais le cheval,
– Ça va plus vite.
– Ça va plus vite, c’est très élégant tu vois, c’est combatif, je trouve. Et c’est très affectueux.
– Ça te ressemble plus que le chameau.
– Que le chameau ouais, des fois, mes copines vont rire si elles entendent cette interview.
– Le chameau, t’es déjà monté sur un chameau du coup.
– Exactement.
– Et c’est quoi le plus dur, c’est quand le chameau se lève ou quand il te redescend ?
– Le tout. Les deux, ouais, en fait, si tu veux, c’est très difficile de l’apprivoiser. Donc ça va quand t’es guidé par quelqu’un, mais faut pas monter sur un chameau si t’as bu un… Mais bon, les chameaux en général sont pas en Auvergne, donc ça passe, mais c’est assez rigolo comme sensation.
– Ok. Marseille ou Paris ?
– Hum. J’aime bien les deux. J’aime bien les deux, mais je vais plus facilement à Paris toute seule. Quand je suis allée à Marseille, j’y suis allée avec des amis, et Marseille, le gros plus, alors moi je suis plus une fille du sud parce que, voilà, j’ai des origines méditerranéennes. Mais Marseille, c’est vraiment pour les calanques, les randos, tout ça, moi, j’adore.
Je pars toujours dans des lieux où t’as mer et montagne.
– Ça marche. Bain ou douche ?
– Douche, c’est plus écologique.
– Ah bien, celle-ci je ne sais pas si elle va te faire rire ou pas mais sucer ou croquer ?
– Haaaa. On va dire croquer pour rester…
– Voilà, croquer.
– Comme ça vous serez pas choqué.
(rires)
– Questions un peu plus ouverte Morgane, qu’est-ce qui te rend triste ? qu’est-ce qui pourrait te rendre triste ?
– L’état fébrile de quelqu’un, enfin l’état fébrile…
– Quelqu’un qui a de la fièvre ?
– Pas du tout, on coupe, on coupe. Ça tu peux couper.
– Non, c’est très bien.
– Euh, oui, enfin l’état. Oui, que quelqu’un ne se sentent pas bien.
Je peux être un peu éponge dessus, mais par contre c’est un travail que je fais sur moi et, au bout d’un moment, euh oui, je suis présente, mais je veux pas non plus…
– Absorber trop…
– Trop absorber parce que sinon moi j’absorbe tout.
– Oui.
– Voilà.
– Je comprends. Très sensible.
– On ne dirait pas hein, on ne dirait pas.
– On dirait pas comme ça, elle est sensible la Morgane.
L’endroit où tu n’aimerais pas vivre et l’endroit où tu rêverais de vivre ?
– La grande ville. Je voudrais pas du tout du tout habiter où ça grouille de partout. Tu vois, Paris, je trouve ça très bien à petites doses, par exemple, mais y vivre.
Mais ils sont tous stressés là-bas, je dis pas que je le suis pas, mais genre, on n’a pas le même stress tu vois. Et l’endroit où j’adorerais vivre.
Ahhh. Alors moi, ce serait en Espagne.
– T’as une ville en particulier, ou,, enfin une région ?
– Alors, alors là, je vais être totalement incohérente avec ce que je viens de dire avant
mais…
– C’est pas grave, c’est pas Paris.
– C’est pas pareil. Alors moi j’adore Barcelone parce que c’est très cosmopolite.
Il y a beaucoup de choses à faire et surtout, tu peux vite être dans des petits villages catalans, etc. reculés. Et voilà, comme je te disais tout à l’heure, j’ai ces origines là et moi, la façon de vivre. C’est pas du tout les mêmes horaires.
– Non, on fait la sieste là-bas.
– Exactement aussi, moi, ça me ferait des vacances.
Mais tu as des amplitudes horaires ou, en fait, t’as le bien-être au travail qui est rès important. Et moi, c’est ce que j’essaie de faire pour mon entreprise. Bon c’est sûr que moi en tant que patronne, j’aimerai pas être ma patronne, mais j’essaie de me le faire. Tu vois de me dire voilà, impose-toi des horaires, un peu comme ça, et au moins tu peux être bien dans ta vie, plus à l’aise, et voilà, c’est ça qui me plaît beaucoup dans ce pays-là.
– Ok, top, on va tous partir à Barcelone.
– Mojito !
– Le Puy a un peu des couleurs à la barcelonaise non ou pas ?
– Exactement.
– Bon, peut être que ça va venir ici.
– Exactement, ça serait trop bien.
– Merci Morgane pour toutes ces réponses.

On va parler un peu du Puy-en-Velay.
– Bien sûr, allons-y.
– Le Puy-en-velay et puis autour, la Haute-Loire. Moi je vais te demander, tu es quelqu’un qui bouge beaucoup, est-ce que tu as un commerce, coup de cœur ou il y a des endroits que tu fréquentes plus particulièrement en dehors de ton métier.
– En dehors de mon métier. Alors oui, parce que moi c’est vrai que je vais un peu partout et je consomme partout. J’essayais de faire au mieux, le plus local.
Finalement, je crois que c’est un secret pour personne, je mange très souvent au Caulet-Flori. Donc, c’est le restaurant végétarien et ce que j’aime beaucoup, c’est les brunchs.
– Les brunchs le dimanche.
– Le dimanche, c’est mon rituel avec les amis, c’est mon jour de repos.
Quand j’en ai des dimanches, mais genre on prend la route du Caulet et on va se faire des petits pancakes aux œufs ou des petits toasts mozza.
– T’as les petites boissons fraîches qui vont avec.
– T’as les petits smoothies, t’as les jus du jour. Voilà, c’est très recherché. Et il y a un endroit aussi où j’aime beaucoup aller et c’est vrai que on a tendance à dire punaise c’est vrai, il faut qu’on aille manger là-bas, mais c’est au jardin Henri Vinay.
– Ouais, faire un pique-nique.
– Faire un pique nique et tu sais, t’as le petit resto aussi de Lanaret, et en fait …
– La buvette.
– Ouais, c’est, c’est génial, ça change, t’es dans le Puy mais sur un côté un peu ombragé, mais avec le décor en fait du jardin.
– Tu manges quoi à la buvette, toi, quand tu y vas ?
– Moi, je peux manger de tout, mais généralement, je crois que je prends la crêpe.
– La crêpe ?
– Ouais, ouais.
– Une complète ou…
– Ouais, n’importe, moi quand j’ai faim. Voilà, je suis connue pour être une très grande, très grande mangeuse. Pardon donc, du coup, faut que je sois bien rassasiée donc voilà, c’est des endroits où j’aime bien aller.
– C’est très sympa et puis, ils sont très sympas.Tu as Emma, tu as Sacha.
– Ben, quand tu vas dans un lieu et que les gens déjà sont hyper accueillants, etc. C’est top quoi !
– On décroche plus après.
– Voilà exactement.
– Tu deviens addict.
– C’est ça.
– Non, l’endroit est super sympa et les personnes super sympa aussi.
– Ouais.
– Ok, on a fait le tour pour les commerces, enfin restaurants, bars.
– Oui,

– Tu veux nous parler d’un autre commerce ou ?
– Et ben un autre commerce, non, mais si, moi je tenais à te parler de Lucile Filhol.
– Une artiste oui, on va dire artiste, parce que quand même…
– Artiste. C’est une artiste. Alors baste en fait d’être… moi, je ne l’ai pas connu… on se connaissait comme ça et en fait j’aime beaucoup son travail parce que ma maison est blindée de ses illustrations. Elle a ouvert son magasin, donc rue Chènebouterie.
– Tout récemment.
– Tout récemment, et du coup, je trouve que c’est un super lieu, ça fait un petit peu galerie d’art. Et voilà, c’est une jeune entrepreneuse que moi, j’essaye de mettre le plus en avant.
De moi-même, parce que je je consomme chez elle et c’est aussi pour la pousser, en fait, dans son activité. Et voilà, je sais que ses créations peuvent plaire.
– Oui, on la voit un peu partout ses créations au Lez’Arts Colorés, on en voit au musée, on les voit.
– Elle a réussi à se faire une place et c’est totalement mérité.
– On est d’accord.
– On n’est pas mal.
– Donc, c’est l’Atelier Lune.
– C’est ça, exactement.

– Ok. Est-ce que tu connais une petite asso, ou tu as une petite asso coup de cœur ou ?
– Bien sûr. Moi, je vais te parler de Face43.
Pour expliquer c’est une association en fait qui favorise la mise en œuvre et développement d’actions contre les exclusions.
Vous pouvez vous renseigner plus en détails, mais moi, je suis intervenue, par exemple, dans des collèges et lycées pour tout ce qui est sensibilisation au numérique.
– D’accord.
– Voilà donc réseaux sociaux, etc. Et donc c’est important parce qu’aujourd’hui ça prend énormément de place et c’est des choses, en fait, qui se démocratise et
Surtout tout ce qui est milieu d’influence. Voilà, et l’idée, c’est d’apporter en fait une connaissance et leur montrer en fait ce qu’il faut faire ou ne pas faire.
– D’accord. Et ils sont situés où ? tu sais ou pas non parce que t’ intervenais toi auprès de…
– Alors ils sont au Puy, parce que je sais que c’est un groupe qui peut être national, si je dis pas de bêtise. Mais sinon, il y a une antenne au Puy.
– Je mettrais l’adresse de l’antenne, si quelqu’un veut des renseignements ou quoi que ce soit.
– Tu pourras.
– Je pourrais ? Ouais super ! J’ai l’autorisation.
(rires)
Est-ce qu’on a fait le tour du Puy pour toi ?
– Moi, c’est bon.
– Ouais, rien d’autre, pas d’autres coups de cœur ? Non, c’est bien.
– C’est bien.
– Ouais, on est pas mal là.
– Ok.

– Alors, à Salut les ponots ! on a un slogan, je sais pas si tu le connais ?
– J’ai écouté quelques podcasts, mais alors déjà, tu vois, je n’ai même pas capté qu’il fallait faire un jingle alors, je sais pas.
– C’est Crache ta lentille !
– Ah ok, génial !
– Voilà, c’est local. Et donc, en fait dans Crache ta lentille, je te demande d’être taquine, pas méchante. De toute façon, avec ton métier, voilà, tu pourrais pas non plus.
– Je fais attention.
– Elle est surveillée. Avec ton nom aussi, tu peux pas dénigrer…
– Exactement. Ben en soi, mon métier fait que mon gros avantage, c’est que je dis si j’aime quelque chose, ou à l’inverse, si je n’aime pas, mais attention, ça reste toujours très constructif et très bienveillant. Donc voilà, il faut dissocier mon métier et ma personne.
– Tout à fait.
– Je sais, c’est compliqué pour certains.
– Nous, on est plus avec toi, en tant que personne, Morgane et voilà.
– Voilà.
– Faut faire la part des choses. Alors je voulais savoir s’il y avait un événement que tu trouves remarquable au Puy, ou s’il y avait un événement que tu trouves remarquable ailleurs qu’au Puy, qui peut être en France, que tu vois à l’étranger, que tu aimerais voir au Puy.
– Alors récemment j’ai trouvé un truc génial. Je crois que c’était, je ne sais pas quand vous allez écouter. Je crois que c’était le 31 juillet. Je n’ai pas pu y aller, mais au jardin Henri Vinay, j’ai vu qu’il y avait un cinéma en plein air.
– Oui, moi aussi je l’ai loupé.
– J’ai trouvé ça. J’ai dit qui est à l’origine de cette idée? C’est génial, enfin tu vois, je trouve que c’est pas vu et je ne sais pas s’il y avait du monde. J’ai pas, j’ai pas entendu de retour encore. Mais moi, j’ai trouvé l’idée super. Et donc c’est quelque chose qui devait se faire ailleurs et qui a été…
– Oui, alors c’est quelque chose qui se fait. J’en ai fait beaucoup de cinémas de plein air et ça faisait un moment que je me disais pourquoi y a pas de cinéma de plein-air au Puy-en-Velay ? et j’ai vu le truc un peu trop tard. Il fallait s’inscrire, je me suis dit bon ben, c’est pas la peine. Les inscriptions sur internet étaient fermées. Mais du coup, je n’y suis pas allée alors que j’aurais pu y aller, puisque apparemment, c’était juste pour réserver une chaise.
– Ah d’accord donc tu pouvais peut être…
– Après, ça se fait dans les grandes villes. À Lyon, j’ai vécu un peu à Lyon, à Paris il y en avait, à Marseille, il y en avait, il y en a dans les campagnes, dans le Cantal, ça se fait un peu partout, je trouve ça super sympa aussi. Je suis d’accord avec toi, ça change.
– Ça change. Donc là, c’était l’événement récent et sinon, ben forcément les Nuits de Saint-Jacques. Alors, moi, j’adore, cette année, c’était juste dingue, et je sais que niveau organisation, ça va être un boulot de fou, mais par contre, ben c’est génial parce que, pour la ville, ça ramène du tourisme, les jeunes y sont sortis.
Voilà
– Des artistes…
– Des artistes.
– … Qu’on voit dans une petite ville.
– Exactement mais faut pas minimiser. On a une très belle ville et du coup, je trouve que c’est génial que de tels artistes…
– Viennent jusqu’ici.
– Viennent jusqu’ici et s’intéresse aussi. Je me rappellerai toujours M quand il est venu, il avait visité. On a une très belle ville qui, aujourd’hui, est connue. Il y a quatre ans, quand tu disais j’habite au Puy, c’est où le Puy et tout.
– Donc si les artistes qui viennent pour les Nuits de Saint-Jacques ont besoin de faire un petit tour de ville, Morgane est là pour vous.
– Je peux être guide touristique. J’ai plusieurs antennes en fait.

– Elle peut tout faire. Bon, je vais te demander par contre ce que tu changerais au Puy, si il y a quelque chose que tu changerais au Puy ?
– Alors je changerais rien, parce que, c’est très bien et on évolue tous. Mais il faudrait, en fait, il faut arriver à dynamiser encore plus et c’est ce qui est en train de se faire par différents acteurs. Tu vois là, aujourd’hui, on est au sein de la Brasserie du Digital et quand je suis arrivée au Puy, c’est vrai que je me suis dit mince, c’est vrai que j’ai un métier déjà qui est assez particulier, qui est en train un peu de rentrer dans les mœurs, mais en fait ici…
– Se mettre en avant, c’est dur.
– …voilà, et ici ça a été construit, tu as des entrepreneurs, donc dans le milieu digital et je trouve ça génial. Moi, je parle pour ma partie. Je trouve aussi qu’au niveau de la ville, il y a de belles choses qui sont faites quand on parle des trails.
– Trail du St Jacques…
– Les trails c’est juste génial. Moi, j’ai assiste chaque année, alors je t’avoue que je cours pas à chaque fois, mais
– Oui, je t’ai pas vu faire la montée à la cathédrale cette année.
– Non non non pas cette année. Je l’ai faite l’an dernier, c’est bon. Je me repose là, mais du coup, par des événements, par des entreprises qui s’implantent. Je sais qu’il y a de grosses entreprises qui se sont implantées il n’y a pas longtemps sur le Puy, grâce au travail qui est fait par l’Office de tourisme, moi, je suis fan de leur travail et je l’ai dit à l’équipe. Les vidéos qui sont faits par drône…
– Ça donne envie.
– Ça donne envie et ça attire le touriste. Et moi, je le vois parce que j’ai énormément de messages qui me disent: ben voilà, notamment pendant les ponts, on descend dans le sud, mais on s’arrête faire une halte au Puy et bah, tu nous as trop donné envie.
Parce que je partage le travail de beaucoup tout ça, et donc, je sais que ça donne envie et que les gens viennent s’y arrêter. Donc, en fait, je ne changerai rien, mais continuons ce qu’on est en train de faire et, en fait, c’est un travail de plein d’acteurs, comme je le disais, et ensemble, tu peux vraiment faire de très belles choses quoi.
– C’est joli ce que tu as dit dis donc.
– C’est très philosophique tout ça on est d’accord.
– Il n’est que deux heures de l’après-midi, attention.
– Et t’as vu ça, depuis 7h ce matin.
(rires)
– Ouais c’est ça, t’es sûre que c’était pas avant ?
– Oh, ça se peut !
– Alors je vais te redemander de faire le jingle.
– Han, j’ai oublié ce que j’ai fait.
– Tu peux changer.
– J’ai pas le droit de dire ce que c’est, par ce que j’aime bien dire ce mot.
– Ah, tu peux dire ce que c’est le mot.
– Une boîte à meuh.
– Une boite à meuh ?
(rires)
Une boite à meuh qui se tourne.
– Attends, c’est la fin ça veut dire du confessionnal. Non ?
– Euhhh c’est la fin de… non, on va passer à la Haute-Loire là plus précisément pour les questions, non, c’est pas la fin…
– C’est comme ça.
– …de rien pour l’instant.. Non, jingle.
– Ah je ne dis pas au revoir ?
– Non.
– Ok jingle.

Musique jingle

Salut les petits Ponots !
– Toujours avec le sourire, j’adore.
– J’adore.
(rires)
– On va parler donc de la Haute-Loire. Alors, pour ça, je vais te poser des questions, comme tout à l’heure. Faut pas que je m’éloigne du micro moi. Euh voilà, on va se rapprocher Morgane.
Je vais te poser des questions comme le confessionnal, mais sur la Haute-Loire,
– D’accord.
– Bon, tu dois être incollable, mais bon, j’ai fait des petits aménagements pour toi.
– Ahhh, tu vas me piéger.
– Alors faire du saut à l’élastique au viaduc de la Recoumène ou descendre en vélo les marches de la cathédrale ?
– Saut à l’élastique.
(rires)
– Ah oui, le vélo ça te tente pas ?
– Ben, peut être pas les marches de la cathédrale quoi.
– Arlempdes sur son promontoire ou le rocher Saint-Michel d’Aiguilhe ?
– On a le droit de dire les deux.
– Ou.
– Ben les deux.
– C’est vrai que c’est un peu dur là, j’avoue.
– Oui, c’est un peu chaud là.
– Glace à la verveine ou artisou ?
– Artisou, incollable sur le fromage.
– Alors attention, le Monastier-sur-Gazeille ou Polignac ?
– Ben les deux, t’as plein de trucs à faire.
– Oui.
– Les deux. Désolée, je suis longue mais je réfléchis en même temps.
– C’est pas évident. Au Monastier là ce week-end et là encore en ce moment, mais le podcast sera diffusé après, c’est donc le festival des Cuivres et hier j’ai vu Acid Guru, un super groupe qui passe mardi. Mais bon, quand vous écouterez le podcast, il sera déjà passé depuis longtemps et qui était génial. Je fais toujours de belles découvertes dans ce festival.
Alors là, tu vas aimer cette question, je pense barbecue le 25 décembre au sommet du Mézenc, ou raclette le 14 juillet au bord du lac bleu ?
– Raclette. J’en ai mangé une hier soir, encore.
– Encore, tu fais combien de raclette par an ? 360 ?
– Alors, on va pas compter par an, il faut compter … Alors, c’est à cause du temps.
– Oui, il fait beau, il fait chaud, donc tu fais une raclette hier soir.
– Et oui, exactement, mais je suis à peu près à trois raclettes par semaine. En fait, t’achètes ton fromage mais il t’en reste toujours un peu.
– Et après il faut que tu en rachètes pour finir celui qui reste. Donc tu peux pas en faire moins.
– Et moi, je le prends chez Fanette, trop bon.
– On va rigoler tout à l’heure, tu verras pourquoi.
– Course des filles à Brives-Charensac ou le trail du Saint-Jacques au Puy.
– Les deux. La course des filles je vais la faire cette année parce que la cause est très, très bien.
– C’est au mois d’octobre ou fin septembre, je sais plus.
– Ok, tu me poses une colle.
– Ah ouais je sais plus mais en général c’est dans ces eaux là.
– Mais il me semble que oui, parce que je crois que c’est fin septembre. Je ne sais plus. J’ai un post à faire et je ne sais pas quand j’ai planifié.
Mais dans l’idée, et le trail. Le trail parce que, du coup, c’est du dépassement de soi et ouais l’objectif.
– Et l’arrivée des marches, cette année c’est vrai que c’était la première fois que je voyais l’arrivée. Il y en a qui court encore en montant. Je ne sais pas comment ils font après 50kms. Tout va bien j’arrive, le sourire aux lèvres.
– C’est des sportifs dans l’âme,
– Voilà, c’est ça. Plateau de la Margeride ou du Devès ?
– Hein ? Qu’est-ce que c’est ?
– Qu’est-ce que c’est ?
– C’est chez nous ? D’accord.
– C’est trop loin.
– C’est trop loin.
– On s’est trop éloigné du Puy-en-Velay là.
– Tu m’as perdu.
– Alors là. Aller acheter du fromage en peignoir chez Fanette ou aller acheter un sac en jean en peignoir chez So Francisco ?
– Et ben aller acheter du fromage en peignoir chez Fanette.
– Moi, j’ai envie de te lancer un petit défi, Morgane, écoute, parce que il m’a semblé sur un post, que t’avais dit que t’étais déjà allée faire tes courses en peignoir ?
– Alors pas. Alors pas les courses exactement. Je vais te raconter si il y a des gens qui me suivent depuis longtemps c’est… J’ai un truc avec la poste colissimo tu vois, voilà. Il y a des fois, ils peuvent te laisser ce qu’on appelle des avis de passage, alors que tu es à ta maison. Et généralement c’était pendant le covid. Et là je les ai court-circuité et je courais derrière, je courais avec mon peignoir et j’avais même des pantoufles licornes à l’époque. Voilà.
– Sans dec !
– Ouais, mais si tu veux qu’on se donne le défi, alors t’es super bien tombée avec moi.
– Oui, alors j’aimerais bien que tu ailles acheter du fromage en peignoir avec les pantoufles licornes chez Fanette et que tu nous fasses une petite photo.
– J’ai plus de pantoufles licornes, je les ai plus, mais le peignoir j’ai.
– Tu as ?
– On fait ça et je vais chez Fanette.
– Tu topes ?
– Je tape.
– Vous êtes témoin, elle a tapé.
Ok, super, parce que bon, clément aussi. Et puis, voilà quoi, on attend toujours la photo. Normalement, il doit aller faire ses courses en peignoir. Il m’a dit qu’il le ferait. Donc on va voir qui est le plus rapide.
– Je vais lui dire.
– Voilà, tu lui rediras ?
– Je lui dirais viens je t’accompagne faire les courses, mais tu m’accompagnes acheter le fromage.
– Tous les deux en peignoir , ça va être génial.
Est-ce que tu as un… maintenant qu’on a fini les questions à proposition. Est-ce qu’il y a un lieu où tu aimes te retrouver entre amis en Haute-Loire. Est-ce que tu as un lieu particulier ou pas?
– Euh… Alors, on n’a pas de lieu défini, mais généralement, en fait, on aime beaucoup nous avec mes amis, se retrouver les uns chez les autres.
Parce que, du coup, on coupe un peu du travail, parce que on est quand même beaucoup…
– Sur les routes un peu.
– Sur les routes ou dans nos, dans les environnements au sein de la ville même, et du coup on se dit et ben ce soir, on se fait une bouffe chez toi, chacun amène quelque chose.
Moi, je ne cuisine pas parce que fort heureusement, j’ai des amis qui cuisinent tellement mieux que moi. Mais du coup, on aime bien se retrouver les uns chez les autres et je trouve que c’est, enfin moi, ça me correspond totalement dans mon style de vie.
– Pourtant tu donnes des petites recettes des fois là, quand tu…
– Oui, des recettes faciles.
(rires)
– Tu as une recette facile là ?
– Et le Chamerlenc m’a même dit je t’embaucherai en tant que serveuse.
– En plus, tu as un commis, c’est Boo.
– J’ai Boo, ahhh mon chat, mais t’es bien renseigné. Ben oui. Et oui, mon petit chat, il va avoir trois ans et je l’ai pris à la SPA. Et c’est un chat chien.
– Ah oui, moi aussi j’ai ça.
– T’as ça aussi, voilà. C’est ma petite boule de poils d’amour et c’est mon fils. Voilà !
– Bon, c’est bien, on aime les animaux.
– On aime.

– Alors, dernière question, après ce sera le moment du mot de la fin et du dicton.
– Et du dicton.
– Ah, ça y est, elle a peur.
Qu’est-ce que tu n’as pas encore fait en Haute-Loire et que tu rêverais de faire?
– Ah, mais alors vous allez tous rire parce que moi je veux faire ça, c’est un truc tout bête.
On a les Estables et à la Brasserie, on fait nos séminaires souvent là-bas, à la sortie givrée, etc. J’ai découvert les fustes du Mézenc il y a pas longtemps et, en fait, t’es accueilli, à la fin, tu fais un feu de camp, etc. Et cette année j’ai été malade, j’ai pas pu arriver à l’heure et ils ont fait griller des chamallows autour d’un feu de barbecue.
– Et toi, t’aimerai faire la même chose au même endroit ?
– Et moi, je veux faire griller mes chamallows autour d’un feu, avec barbecue ou pas, voilà, pour se réchauffer juste les mains mais je veux faire griller mes chamallows comme ça.
(rires)
– Non, mais c’est bien.
– C’est un plaisir simple, j’ai des plaisirs simples.
– C’est bien d’avoir un petit bonheur simple, ouais, tout à fait.
– Voilà, entourée de ceux que j’aime, un truc très simple.
– Et tu m’as dit que t’étais allée aux Fustes du Mézenc.
– Oui, je suis allée aux Fustes du Mézenc.
– Tu peux me parler un petit peu, parce que moi a m’intrigue même si c’est pas au Puy-en-Velay des Fustes du Mézenc, c’est un particulier.
– Alors alors oui, c’est des particuliers, donc c’est situé à Fay. J’ai eu un très gros coup de cœur pour Eléonore, qui m’a contacté en fait sur les réseaux et qui m’a dit si tu veux bien, on fait un échange si tu veux venir et parler de ça sur tes réseaux. Donc c’est vraiment un échange. Et de là, je lui ai dit pas de soucis. Et puis je vois ses Fustes et je dis waouh, mais c’est juste sublime. Et puis on vient rencontrer son mari, et puis là, mon conjoint lui pose la question lui disant mais qui c’est qui fait ça et là, il lui dit c’est moi, j’ai tout appris tout seul, etc. Et quand on voit le travail, que c’est, c’est juste sublime. C’est du travail du bois qui est travaillé sur les alentours. Le bois vient d’ici, c’est tout lui qui confectionne, tout seul. C’est un gros travail et, en fait on se dit, on dort dans quelque chose que quelqu’un a bâti vraiment de lui-même, et c’est un super lieu et tu es même pas à deux minutes du village de Fay où j’ai fait de la mob, et tu es à même pas dix, quinze min du Mézenc. Donc, moi, c’est mes moments, on a trouvé ce lieu et moi, ça me permet de sortir du Puy. Pas loin.
– Sans aller trop loin.
– Sans aller trop loin et de te dépayser voilà. Moi les choses simples tu sais, ça me va très bien.
– Puis, bon, c’est un beau travail de la part de ce couple, d’artisans.
– Exact, voilà.
– On fera un petit description, on les mettra dans l’annuaire.
– Tu les mettra exceptionnellement, mais ils ont le mérite d’être connus, vraiment, parce que c’est des personnes qui entreprennent chez nous et à côté et vraiment, qu’on soit touriste ou ponot, si on veut faire plaisir, ben c’est une super idée cadeau.

– Ok, super, merci, Morgane, mais tu n’échapperas pas au mot de la fin, au dicton.
– J’allais partir.
– Oui, je vois ça, en courant. Morgane revient. Alors est-ce que tu as une expression que tu dis souvent ?
– Ah, ouais, faut que je dise ça ?
– Ah ben si tu… Ah ouais, c’est à ce point ?
– Ben non mais je dis tout le temps fouilla !
– Ah oui mais…
– C’est pas très…
– Alors moi j’ai changé, j’avais dit, on va dire maintenant Oh ponotine ! Parce que tu vois…
– Oh ponotine !
– Voilà, on n’est pas à Saint-Etienne, donc…
– Je sais, je sais.
– Non mais il n’y a pas quelque chose que tu dis souvent à part fouilla ?
– Faudrait demandé à mes amis, mais des fois…
– Ou t’as pas un dicton que t’aime bien…
– Ah des petites expressions comme ça…
– Ça peut être n’importe quoi hein.
– J’aime bien dire il faut pas pousser mémé dans les orties quand elle a pas de culotte.
– Ah, elle est chouette celle-là, j’adore, je prends, je valide. Merci Morgane.
– Merci à toi.
– Très bonne journée à toi. A bientôt.
– Merci, à bientôt.
– A bientôt, ciao, ciao !

Temps d’écoute : 32’05 minutes
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Coups de coeur de notre invité